Damaraland : de Spitzkoppe à Twyfelfontein

Damaraland : de Spitzkoppe à Twyfelfontein

Après le désert de Namib et la côte Atlantique de Walvis Bay, c’est vers le Damaraland que je me suis dirigée. Le Damaraland est l’une des plus extraordinaires régions de la Namibie, c’est l’un des rares endroits en Afrique où il est encore possible d’observer la faune sauvage sans être dans une réserve, c’est aussi un haut lieu culturel avec ses gravures rupestres et que dire de ces paysages somptueux.

Jour 7 : de Swakopmund à Spitzkoppe (121km de route et 41km de piste)

Ce matin, départ vers Spitzkoppe dans le Damaraland, la route pour une fois n’est pas trop longue et j’arrive vers midi au Spitzkoppen Lodge. Spitzkoppe signifie chapeau pointu en afrikaans, c’est une montagne de granit qui culmine à 1728m au-dessus de la plaine désertique du Damaraland. Il fait très chaud quand j’arrive, je profite donc tranquillement des installations du Lodge, d’abord une petite sieste puis un petit bain dans l’étonnante piscine du Lodge, on y a une vue superbe. Je suis la seule cliente du Lodge ce jour-là, c’est donc très tranquille.
En fin de journée, je pars visiter avec un guide les étonnantes formations géologiques du coin. Je découvre d’abord quelques zèbres et antilopes qui paissent avant de partir à la découverte de peintures rupestres que l’on voit dans le coin et de l’étonnante nature. Avec par exemple, des arbres qui poussent à l’étroit, au coeur des formations rocheuses. Il y a plusieurs endroits ou trouver des peintures rupestres du côté du Spitzkoppe, mais celles du Small Bushman Paradise sont surement les plus fascinantes, elles racontent la vie des Bushmans, des tribus nomades qui ont vécu dans la région. La plus belle formation géologique est surement l’arche qui fait penser à un oeil ouvert sur le Spitzkoppe. Ici, il y a comme un air de l’Ouest américain.

La visite se termine par un petit apéro devant le coucher du soleil, grandiose!!! Après le diner au Lodge, je profite de la noirceur du coin pour observer les étoiles, je tente même quelques photos nocturnes, ce n’est pas parfait, mais c’est mieux que la dernière fois que j’ai essayé, je m’améliore!!!

Jour 8 : De Spitzkoppe à Twyfelfontein (4km de route et 236km de piste)

Ce matin, lever matinal pour observer le lever du soleil depuis mon bungalow, un beau spectacle que j’ai pu observer en compagnie des zèbres qui sont venus brouter juste devant mon bungalow.

Après un gargantuesque petit déjeuner, je quitte Spitzkoppe pour Twyfelfontein que je rejoins en début d’après-midi. Comme le jour précédent, je profite de la piscine du Lodge avant de partir en fin d’après-midi à la recherche des éléphants du désert. C’est un groupe particulier d’éléphant, il en existe à seulement deux endroits dans le monde, en Namibie et au Mali. Ils se sont adaptés aux conditions de vie plus difficiles du désert, leurs pattes sont plus larges, leurs corps plus petits, mais leurs jambes plus longues. Ils peuvent passer plusieurs jours sans boire d’eau.
Notre guide les repère très facilement, ils ne sont qu’à quelques kilomètres du Lodge. Il y en a une vingtaine et comme nous les avons vite repérés nous avons la chance de pouvoir passer du temps avec eux et de les suivre tranquillement, ils vont d’ailleurs à un point d’eau qui se trouve juste en face du Lodge. Leur déplacement est assez lent et nous avons donc le temps pendant la traque d’aider le bus d’un groupe d’allemand qui s’est enlisé dans le sable, après quelques chaines cassées et le concours de deux 4×4, ils ont pu être désensablés!!!

Finalement, un peu avant le coucher du soleil, nous quittons les éléphants afin de trouver un spot pour admirer le coucher du soleil.

Jour 8 : Twyfelfontein (22km de piste)

Aujourd’hui, journée assez calme, dans la matinée j’ai visité deux sites touristiques de Twyfelfontein et dans l’après-midi je me suis reposé autour de la piscine. Les longues routes de pistes sont épuisantes.
J’ai donc commencé ma journée par les tuyaux d’orgue, c’est une petite gorge où l’érosion a formée la pierre comme des tuyaux d’orgue. Les colonnes de basalte, haute de 5 à 10m forme un mur étonnant sur environ 100m. Juste à côté, on trouve la montagne brulée, du schiste qui a été carbonisé par du magma en sous-terrain, ce qui laisse en surface un paysage lunaire, où presque rien ne pousse.

Je me rends ensuite au site des peintures rupestres de Twyfelfontein, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, ce site forme l’une des plus grandes galeries d’art pariétales d’Afrique. La visite se fait obligatoirement avec un guide. Les gravures remontent pour la plupart à environ 6000 ans et sont attribuées aux peuples San et Namas. En étudiant les couleurs et la roche, les chercheurs ont pu comprendre qu’il y a 6 périodes différentes de gravures. Les gravures au nombre de 2500 représentent principalement des animaux sauvages, mais il y a aussi des hommes, même si elles sont peu nombreuses.

Je rentre ensuite au Lodge pour une après-midi de farniente. En fin de journée, j’ai la chance de pouvoir apercevoir de nouveau les éléphants du désert qui, comme la veille, viennent s’abreuver au point d’eau face au Lodge.

Le lendemain, je quitte le Damaraland pour rejoindre le parc d’Etosha.

Pour plus de photos, c’est ici.

Une journée à Swakopmund et Walvis Bay

Une journée à Swakopmund et Walvis Bay

Je suis arrivée en fin d’après-midi à Swakopmund après une longue route depuis Sesriem. En soirée je pars observer le coucher du soleil sur l’Atlantique avant de diner au Tug Restaurant, un resto qui se trouve sur la jetée avec vue sur l’océan.

Jour 6 : Swakopmund et Walvis Bay (76km de route)

Swakopmund est une station balnéaire très touristique de la Namibie, son architecture allemande dénote un peu en Afrique, on dirait par endroit une station balnéaire de la mer du nord, surprenant!!! Au premier abord, je n’ai pas spécialement aimé, mais je ne n’ai pas non plus vu grand-chose et peut-être que je me trompe!!!
C’est en faite le secteur de Walvis Bay que j’ai visité, au sud de Swakopmund. Ici, on peut faire des excursions en bateaux, ce que j’ai fait. À bord d’un catamaran, nous explorons la baie, à la recherche des animaux qui la peuplent, otaries, dauphins, pélicans et autres oiseaux…

La bande de sable qui mène à Pelican Point est sacrément impressionnante, une colonie d’otaries s’y est établie, elle m’a paru gigantesque et pourtant ce n’est pas la plus grande de Namibie, environ 150km plus au nord à Cape Cross on trouve une colonie de quelques 100 000 individus.
Les otaries sont tellement habituées aux bateaux des touristes, qu’attirées par le poisson elles montent à bord des bateaux, une d’elles a même décidé que mon dos était un bon endroit pour s’appuyer, de quoi faire un selfie sympa!!!

En dehors des otaries, je vois de nombreux oiseaux, dont des pélicans, mais aussi des dauphins. Les eaux froides sont très riches en plancton et très poissonneuses et attirent donc de nombreux animaux.

Nous terminons l’excursion par un délicieux apéro dinatoire à bord.
Dans l’après-midi, de retour sur terre, changement de véhicules, nous prenons un 4×4 pour partir à l’assaut des dunes de Sandwich Harbor. Mais avant de rejoindre les dunes, nous passons près de la lagune qui accueille entre autres une colonie de flamants roses. On trouve également des marais salants qui amènent une jolie couleur rosée au paysage. Ces marais salants fournissent 90% du sel d’Afrique du Sud.

Puis nous arrivons dans les dunes de Sandwich Harbor que notre chauffeur prend d’assaut, un sacré pic d’adrénaline, ces dunes sont immenses et par endroit tombent à pic dans vers l’océan. Quel contraste entre l’aridité du désert et l’océan!!! En milieu d’après-midi, nous faisons un petit arrêt champagne et huitre avant de retourner vers Walvis Bay, je récupère ma voiture et je retourne vers Swakopmund.

Dans la soirée, je vais au restaurant Brewer & Butcher avec un couple de Belges rencontrés lors de mes deux excursions à Walvis Bay. Encore une belle vue sur l’océan.

Pour plus de photos, c’est ici.

Le désert de Namib-Naukluft

Le désert de Namib-Naukluft

Il y a un peu plus d’un an, j’ai fait un superbe voyage en Namibie, au Zimbabwe et au Botswana. J’ai commencé mon voyage par le secteur de Namib-Naukluft avec ses magnifiques dunes rouges.

Jour 1 : Arrivée à Windhoek en Namibie (44km de route)

Il me faut près de 35h pour relier Montréal à Windhoek, la capitale de la Namibie et c’est donc bien fatiguée que j’arrive dans mon hôtel. C’est déjà la fin de l’après-midi et je décide donc de me reposer, je rencontre une personne de l’agence qui me donne les vouchers et m’explique l’itinéraire et quelques petites choses à savoir, comme comment fonctionne le téléphone satellite que j’ai décidé de prendre par sécurité. Même si dans l’ensemble je ne suis pas trop craintive, se retrouver toute seule sur des pistes sans réseau cellulaire, le téléphone satellite est rassurant. Finalement, en début de soirée je pars me coucher pour être en forme le lendemain.

Jour 2 : de Windhoek à Sesriem (97km de route et 250km de piste)

Ce matin, départ vers le sud de la Namibie plus particulièrement Sesriem, l’entrée principale du parc Namib-Naukluft. Au début, c’est une route tout ce qu’il y a de plus classique, bien asphaltée, sans nid de poule, très agréable. Mais au bout de 97km, je découvre les joies de la piste qui sera ma compagne lors des 15 prochains jours. Il me faut, en comptant les arrêts presque 6h pour rejoindre mon Lodge des 3 prochaines nuits. Sur la route quelques petits arrêts, notamment le Spreetshoogte Pass, un col avec une vue superbe sur le désert. Et un peu plus loin, arrêt à Solitaire, surnommée le « Bagdad Café namibien », cette minuscule localité au milieu de nulle part permet surtout de se ravitailler en essence, et chose insolite manger un Apple Strudle dans la boulangerie. Elle est d’ailleurs très réputée pour ça!!! Bonne nouvelle, j’y arrive en fin de matinée, juste à temps pour le déjeuner et un dessert bien mérité après cette longue route.
Je me ravitaille également en essence avant de reprendre la route, un peu plus achalandé, vers mon Lodge près de Sesriem, que je rejoins en début d’après-midi. La fatigue du voyage est encore bien présente et je profite de la terrasse et de la piscine de mon Lodge pour le reste de l’après-midi.

Jour 3 : Le parc Namib-Naukluft (120km de route et 82km de piste)

Ce matin, départ très matinal pour visiter le parc dans la fraicheur matinale, par contre pas de lever de soleil pour moi, le temps est couvert ce matin-là et de toute façon avec l’ouverture des portes à 6h du matin, c’est compliqué de rejoindre le sommet d’une dune pour le lever du soleil, à moins d’être en forme, ce qui n’est pas mon cas.
Le parc Namib-Naukluft est le plus grand parc d’Afrique et le quatrième dans le monde, sa superficie de 50 000km2, c’est plus grand que les Pays-Bas (41 526km2)!!! Ce superbe désert est le plus ancien du monde et le secteur de Sossusvlei avec ses immenses dunes ocre est un des lieux les plus touristiques de Namibie.
J’ai une réaction très ambivalente avec ce parc, j’avais très envie de le voir, de me promener au milieu de ses paysages fabuleux, en même temps je déteste marcher dans les dunes!!! C’est donc avec un sentiment assez bizarre que j’ai commencé mon exploration de ce parc, uniquement vue d’en bas ce jour-là. Comme je l’ai dit un peu plus haut, le temps est couvert ce jour-là, je n’ai donc pas de belles photos des dunes, impossible de faire ressortir les couleurs des dunes. Mais le déplacement est quand même exceptionnel et toutes ses couleurs restent bien encrées dans ma tête, même plus d’un an après.
Sans grimper sur les dunes, il faut une grosse demi-journée pour explorer les sites le long de la route qui mène de Sesriem à Sossusvlei. Une route de 60km asphaltée (à l’exception des 4 derniers kilomètres qui se font dans le sable, je n’ai pas osé y aller avec ma voiture et j’ai donc emprunté la navette) permet de rejoindre Sossusvlei, avec en cours de route un point de vue et des dunes à perte de vue dont la dune 45 (qui se trouve à 45km de l’entrée du parc).
Je rejoins ensuite Sossusvlei et surtout Deadvlei, ce lieu unique est sacrément impressionnant, une cuvette d’argile blanche au milieu de laquelle on trouve des acacias morts, un contraste saisissant avec le sol blanc, les dunes ocre, les arbres noirs et le ciel bleu, enfin bleu normalement!!!
Vlei est un mot afrikaans qui signifie marais, Deadvlei veut donc dire marais mort, des inondations ont détourné une rivière qui a alors créé un marais et par la suite des acacias du désert on pu pousser, mais les dunes ont ensuit bouché l’arrivée d’eau et le marais s’est asséché provoquant la mort des arbres. On estime leur âge à 900 ans, la sécheresse est tellement importante qu’elle empêche la décomposition des arbres. Ce lieu est vraiment surréaliste, j’ai adoré!!! Par contre, petit bémol, il faut marcher un peu plus d’un kilomètre dans le sable pour rejoindre le site et le sable s’infiltre partout, surtout dans les chaussures et j’ai donc réussi à avoir des cloques, c’est une des raisons pourquoi je n’aime pas marcher dans les dunes.

Finalement, un peu avant de quitter le parc, je me rends au canyon de Sesriem, tout près de l’entrée. Je rentre ensuite à mon Lodge et comme la veille je profite des installations et je me repose, le réveil était tôt. En soirée, le ciel se dégage et j’en profite pour admirer le coucher du soleil.

Jour 4 : Balade en voiture du côté de NamibRand Nature Reserve (395km de piste)

Ce matin-là je me lève tôt pour un tour en montgolfière, malheureusement alors que j’arrive au Lodge où nous avons RDV j’apprends que le vol est annulé parce que le vent est trop fort. Je retourne donc à mon Lodge pour profiter d’un bon petit déjeuner et en milieu de matinée je décide d’aller faire un tour dans les environs. Au final je vais quand même faire beaucoup de route ce jour-là, je longe la réserve NamibRand Nature Reserve, je rencontre beaucoup d’oryx, je croise quelques minuscules villages et je visite le château de Duwisib, un château néobaroque allemand qui dénote complètement au milieu de du désert!!!

Jour 5 : de Sesriem à Swakopmund (46km de route et 361km de piste)

Aujourd’hui, une longue route m’attend afin de rejoindre la côte Atlantique, mais avant ça, nous survolons en montgolfière du parc Namib-Naukluft. Aujourd’hui tout va bien, le temps est idéal pour voler. En arrivant sur le site de décollage, je suis surpris d’entendre parler en français, en fait les aéronautes sont des Belges. Nous décollons quelques minutes avant le lever du soleil et c’est donc depuis les airs que je peux l’observer, c’est un spectacle magique. Ce n’est pas la première fois que fait un vol en montgolfière, la première fois c’était en Australie et la deuxième fois en Birmanie, mais c’est à chaque fois extraordinaire. Nous survolons d’abord la pleine et le lit de la rivière Sesriem avant de finalement approcher des dunes, l’ombre de la montgolfière sur les dunes avec les oryx qui galope en dessous est un beau spectacle. Finalement nous atterrissons proches des dunes et profitons d’un petit déjeuner aux pieds des dunes.

Je retourne ensuite vers mon Lodge, je boucle mes bagages et vers 10h, je prends la longue route qui doit me ramener sur la côte Atlantique. Je fais de nouveau un arrêt à Solitaire pour le plein d’essence et reprendre de ce délicieux Apple Struddel et je prends ensuite la longue route qui m’amène en 5h à Swakopmund. C’est une route vraiment exténuante, uniquement de la piste jusqu’à Walvis Bay à 40km au sud de Swakopmund et il n’y a absolument rien entre Solitaire et Walvis Bay, aucun village ou petit café pour s’arrêter et il n’y a pas vraiment personne sur la route, c’est le désert. J’ai passé jusqu’à 1h sans rencontrer âme qui vive!!! J’ai fait quand même quelques petits arrêts pour des vues ou lorsque j’ai croisé la ligne imaginaire du tropique du Capricorne.

En milieu d’après-midi j’ai rejoint la jolie Swakopmund, on dirait un retour à la civilisation après 4 jours dans le désert.

Pour plus de photos, c’est ici.

Carnet de voyage en Namibie, Zimbabwe et Botswana

Carnet de voyage en Namibie, Zimbabwe et Botswana

Lors de mon voyage en Afrique du Sud en octobre-novembre 2017 je suis tombée amoureuse de l’Afrique et je n’ai eu qu’une envie c’est d’y retourner, c’est chose faite avec ce superbe voyage en Afrique australe avec au programme la Namibie, le Zimbabwe, quelques heures en Zambie et pour finir le Botswana. J’ai été enthousiasmé par les paysages fabuleux de la Namibie, par contre un peu déçu par le parc Etosha, mais à priori, après le parc Kruger en Afrique du Sud (récit à retrouver ici), il est difficile de faire mieux!!! 

J’ai de nouveau visité les chutes Victoria, mais cette fois en avril elles sont bien plus impressionnantes que lors de mon premier passage en novembre 2017 et j’ai également passé quelques heures en Zambie pour un point de vue différent sur les chutes. À cette période de l’année, leurs réputations d’être parmi les plus belles et impressionnantes chutes du monde ne sont vraiment pas usurpées.

En ce qui concerne le Botswana, c’est le paradis des amoureux de la faune africaine, on y voit de nombreux animaux, dont bien sûr les Big Five. Une expérience différente du parc Kruger en Afrique du Sud, je ne saurais dire laquelle j’ai préférée, on est beaucoup plus coupé de la civilisation au Botswana qu’en Afrique du Sud.

Quelques chiffres :

      • 15 jours en Namibie
      • 2 jours au Zimbabwe
      • 5 jours au Botswana
      • 1 vol international et 2 vols de brousse (sans compter le trajet pour y aller et revenir)
      • 3418km dont 2001k de piste et 1417km de route et ceux uniquement en Namibie
      • 3 sites classés au patrimoine de l’UNESCO, deux en Namibie et un au Botswana
      • Et enfin 2 lignes de ma Bucket List qui sont rayées, je pourrais dire 4, si je rajoute Faire un Safari et Voir les Chutes Victoria, mais je les avais déjà rayée lors de mon voyage en Afrique du Sud en octobre-novembre 2017.
Un long de voyage depuis Montréal, avec notamment une longue escale à Paris, puis une autre à Johannesburg avant d’arriver au bout de 35h à Windhoek, la capitale de Namibie.
      • Jour 1 : arrivée à Windhoek en Namibie (44km de route)
      • Jour 2 : de Windhoek à Sesriem (97km de route et 250km de piste)
      • Jour 3 : Sesriem (120km de route et 82km de piste)
      • Jour 4 : Sesriem (395km de piste)
      • Jour 5 : de Sesriem à Swakopmund (46km de route et 361km de piste)
      • Jour 6 : Swakopmund (76km de route)
      • Jour 7 : De Swakopmund à Spitzkoppe (121 km de route et 41km de piste)
      • Jour 8 : De Spitzkoppe à Twyfelfontein (4km de route et 236km de piste)
      • Jour 9 : Twyfelfontein
      • Jour 10 : De Twyfelfontein à Etosha (285km de route et 189km de piste)
      • Jour 11 : Etosha (61km de route et 169km de piste)
      • Jour 12 : Etosha (61km de route et 146km de piste)
      • Jour 13 : de Etosha à Erindi (294km de route et 66km de piste)
      • Jour 14 : Erindi (Games drive)Jour 15 : de Erindi à Windhoek ( 120km de route et 66km de piste)
      • Jour 16 : de Windhoek à Victoria Falls au Zimbabwe(44km de route en Namibie)
      • Jour 17 : Visite des chutes Victoria (Zimbabwe et Zambie)
      • Jour 18 : de Victoria Falls au Parc Chobe (Botswana)
      • Jour 19 : Parc Chobe
      • Jour 20 : Du parc Chobe au Delta de l’Okavango en avion de brousse
      • Jour 21 : Delta de l’Okavango
      • Jour 22 : Retour à la civilisation en avion de brousse et vol vers la France

Le retour est plus court que l’aller puisque je fais une étape de 15 jours en France avant de repartir début mai au Canada.

Si je devais faire différemment, je m’y prendrais un peu plus à l’avance pour avoir un peu plus de choix de logements, notamment dans le parc Namib-Naukluft. J’aurais aimé loger dans le parc pour ne pas être tributaire des heures d’ouvertures et de fermetures du parc et qui ne permettent pas de voir le lever ou le coucher du soleil si on loge à l’extérieur, dommage!!!
Même chose pour Etosha, ou au moins ne pas dormir les 3 nuits dans le même logement et ainsi pouvoir découvrir l’est du parc qui parait intéressant.
En ce qui concerne la voiture, l’agence de voyages avec qui j’ai fait affaire m’a loué un pickup manuel et franchement c’est très gros et les pistes sont bien entretenues donc un 4×4 aurait largement suffit, sauf peut-être pour 3-4km dans le parc Namib-Naukluft pour rejoindre Deadvlei, mais il y a des navettes donc on peut s’en passer.

Retour sur 2019

Retour sur 2019

Encore une grande année, quelques voyages bien sûr, mais surtout un retour en fin d’année en France, après 10 ans au Québec.

Les derniers mois ont été bien occupés, 10 ans à l’étranger ça ne se quitte pas en claquant des doigts, j’ai donc beaucoup de retard sur mon blog et ça ne va pas s’arranger, il faut maintenant que je m’installe en France.

J’ai quand même eu le temps de faire de beaux voyages en 2019, l’Islande, l’Afrique Australe ou encore la Blue Ridge Parkway aux USA, sans compter une dernière exploration du Canada avant le retour.

2020 s’annonce plus calme, je n’ai pour l’instant rien de prévu, mais des idées fourmillent dans ma tête et je ne manquerai pas de vous en parler.

Voilà une petite rétrospective de mes voyages en 2019 et pour terminer, une petite citation de Loick Peyron :  » Le plus beau voyage c’est celui qu’on n’a pas encore fait. » Ça annonce de belles choses!